Daddy, à quoi tu joues ? #13 – Uncharted 4
Il y a déjà quelques jours que j’ai eu la chance de recevoir mon Uncharted 4 et, plutôt que vous diviser mon avis en deux comme je le fais habituellement, j’ai préféré le terminer avant de rédiger cet article.
C’est donc cette nuit, vers 2h du matin que les crédits de cette petite merveille me sont apparus. Selon Naughty Dog, ce serait la dernière fois que nous verrions Nathan Drake, l’émotion était donc à son comble lors de la cinématique de fin…
Je sais que vous attendez tous de pouvoir enfin vous lancer corps et âme dans cette aventure, voici donc ce que j’en ai pensé, garanti 100 % sans spoiler !
Uncharted 4: A Thief’s End
Je vais devoir me relire plusieurs fois tant il va falloir que je supprime toute référence à l’histoire du dernier né de Naughty Dog… Et pourtant, Dieu sait combien j’ai envie de vous parler de toutes ces choses qui m’ont émerveillé, envoûté et excité.
L’histoire est digne des autres épisodes : Nathan est convaincu par son frère Sam de partir à la recherche de la mythique cité perdue de Libertalia, une ville crée par des pirates où il n’y a pas de règles et où tout le monde peut vivre libre et sans contraintes. Bien évidemment, un trésor y est caché, mais les frères Drake ne sont pas seuls sur le coup…
Voilà, je ne vous en dirais pas plus sur le scénario qui nous emmène à travers le monde sur les traces du capitaine Henry Avery. Enfin si… encore une petite chose… il m’a fallu une bonne quinzaine d’heures pour en venir à bout, ce qui est parfaitement raisonnable pour un tel jeu.
Là où Uncharted 4 est le plus impressionnant, c’est bien évidemment les graphismes. Je me suis émerveillé de la beauté des décors tout au long du jeu ! Habituellement, on prend une claque au début, puis on n’y fait plus gaffe. Ici, chaque changement de lieu permet d’en prendre plein la rétine ! Que Nathan soit en ville, dans la jungle de Madagascar ou en pleine tempête au large, ce ne sont qu’explosions de couleurs et de lumières qui nous font réaliser que nous sommes certainement devant le plus beau jeu jamais développé pour une console de salon.
Et les visages ! Il faut que je vous parle des visages ! Ils sont sublimes, parfaitement animés, avec des défauts de peau, des rides, des blessures qui apparaissent au fur et à mesure des coups reçus…
Je vais calmer immédiatement mes ardeurs sinon je risque de trop en dire, mais sachez qu’Uncharted 4 va vous mettre KO et vous ne vous en remettrez pas !
Parlons maintenant des musiques. Ahhhhhhh les musiques ! J’ai fait le jeu intégralement avec mon casque sur les oreilles afin de profiter pleinement de la qualité de ses compositions. Bien évidemment, il y a le thème de la série qui a été réorchestré, mais aussi un ensemble de morceaux et de sons qui nous plongent un peu plus dans l’action. Grâce à une bande-son mémorable, Uncharted 4 nous immerge totalement dans son histoire… Je n’avais plus l’impression d’être dans mon petit bureau de 1,5m² une fois mon casque posé sur la tête…
Pour ce qui est du gameplay, Naughty Dog est resté sur ses acquis. Seuls quelques mouvements viennent s’ajouter à ceux que Nathan possédait dans les précédents épisodes. Ainsi, l’usage du grappin est plus développé que d’habitude et notre aventurier peut désormais s’accrocher à certaines parois grâce à un pic…
Les affrontements avec les ennemis sont aussi restés identiques, on ne change pas une équipe qui gagne… Mais j’aurais bien aimé une intelligence artificielle plus poussée. En effet, on a beau être souvent accompagné d’un allié, les combos à deux se font rares et, même si notre compagnon est à découvert au milieu des lignes ennemies, notre héros restera quoiqu’il arrive leur unique cible…
Difficile de trouver des défauts à Uncharted 4: A Thief’s End. Il y a bien ce filtre qui fait parfois apparaître des petits points sur les visages des différents protagonistes, un peu comme dans Quantum Break, mais il est beaucoup moins visible. Parfois, un peu de clipping fait apparaître certains éléments du décor avec du retard, mais je pense que c’était plus dû à la surchauffe de ma PS4 qu’à un problème du jeu. En effet, ma console s’est arrêtée deux fois au cours de l’histoire à cause de la chaleur, notamment en plein cœur du combat final…
Enfin bref, vous l’aurez compris : si vous avez une PlayStation 4, vous vous devez de jouer à Uncharted 4. Si vous ne connaissez pas la série, je vous conseille de débuter par Uncharted: The Nathan Drake Edition, qui contient les trois premiers épisodes.
Je ne vous ai pas parlé du multijoueur, car vous avez très probablement joué à la bêta, et surtout par ce qu’il n’était pas encore accessible le week-end dernier.
Quoi qu’il en soit, ce jeu est parfait, ou presque… Ce serait criminel de ne pas vivre cette aventure trépidante qui ne vous laissera pas indemne…
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Uncharted 4: A Thief's End
-
Jouabilité
-
Graphismes
-
Histoire
-
Durée de vie
-
Bande son
En résumé
Vous avez une PlayStation 4 ? Ne vous demandez même pas si vous devez acheter Uncharted 4 ! Ce jeu est une merveille, un ravissement pour les yeux et les oreilles, il vient parfaitement conclure la quadrilogie…
Un must have à ne rater sous aucun prétexte !
Uncharted 4: A Thief's End
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Jouabilité
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Graphismes
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Histoire
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Durée de vie
-
Bande son
En résumé
Vous avez une PlayStation 4 ? Ne vous demandez même pas si vous devez acheter Uncharted 4 ! Ce jeu est une merveille, un ravissement pour les yeux et les oreilles, il vient parfaitement conclure la quadrilogie…
Un must have à ne rater sous aucun prétexte !
J’ai hâte de le recevoir !!! Mais je vais le savourer, prendre mon temps de bien l’apprécier et voyager avec Drake en regardant les paysages *_*
On se fera un peu de multi aussi ! Est-ce qu’il y a des missions en coop dans le multi comme dans les précédents ?
Je n’ai pas fait attention à ça. Je regarderai aujourd’hui.