Daddy, à quoi tu joues ? #23 – NBA 2K17 – Prélude
Ce n’est plus un secret pour personne, NBA 2K est ma licence de prédilection et il est hors de question que je rate sa sortie chaque année. J’ai donc bien sûr précommandé mon édition légendaire de NBA 2K17 que j’attends avec hâte pour vendredi prochain.
Alors quand j’ai su qu’une démo permettant de jouer un prélude du mode MaCarrière allait sortir, j’ai sauté de joie et je l’ai bien évidemment téléchargée dès ses premiers instants de disponibilité…
La démo de NBA 2K17 n’est pas une version d’essai comme on en a l’habitude d’en voir, il s’agit vraiment d’une partie du jeu dans laquelle on peut créer son joueur, modifier ses caractéristiques, jouer des matchs et commencer à prendre le jeu en main.
Comme depuis quelques années déjà, il est possible de scanner son visage afin d’obtenir un basketteur (à peu près) à notre image. Mais contrairement à d’habitude, Kinect et le PS Camera ne sont plus mis à contribution. En effet, c’est désormais avec le smartphone que tout se passe via l’application MyNBA2K17.
Rien n’y est impressionnant, il suffit de faire correspondre un ovale aux contours de notre visage et le tour est joué… Enfin presque !
Il est préférable d’avoir un ami pour tenir le téléphone, car le rendu final sera de meilleure qualité avec l’appareil photo dorsal que le frontal. Et puis, il ne faut pas trembler des mains, tourner lentement la tête de gauche à droite trèèèèèèèèès lentement sans regarder l’objectif… Et tout cela au moins trois ou quatre fois, car ce genre de gadget, ça ne marche jamais du premier coup !
Quoi qu’il en soit, je me suis retrouvé avec un avatar plutôt ressemblant, bien que ma Grande Recrue soit restée sceptique…
Puis on enchaîne avec le début du mode MaCarrière, présenté par Michael B. Jordan (l’acteur) et Kobe Bryant (mon idole !).
Il faut commencer par faire un choix d’université où évoluer pour le championnat NCAA, puis effectuer cinq matchs afin d’impressionner tout le monde et être drafté dans la meilleure des positions.
Malheureusement, bien qu’il ait tout explosé dans le championnat des lycées et soit surnommé « le Président », notre joueur commence sa saison universitaire tel un petit de trois ans qui commence tout juste le basket…
Il n’arrive pas à dribbler correctement, se fait voler le ballon à tire-larigot, plante un tir sur dix et se fait dunker sur la tronche…
Et c’est bien ce que j’ai toujours reproché aux débuts de carrière de mes joueurs dans les NBA 2K. Systématiquement, il n’y a pas moyen de faire en sorte qu’il ait une caractéristique qui le fasse sortir du lot. Il faut toujours lutter pendant des jours et des jours pour réussir à en faire un joueur qui pourrait peut-être jouer un jour en NBA, alors qu’on y est déjà depuis un moment déjà…
Maintenant que j’ai dit ce que j’avais à dire, passons à ce qui fait plaisir.
Graphiquement, c’est toujours aussi beau. Les joueurs sont parfaitement modélisés, les détails de leur peau ou de leurs maillots sont encore plus visibles… Et puis il y a le public, les coachs, les bancs de touches, toujours plus vivants que jamais !
Et, bien sûr, comme c’est maintenant la mode en NBA, les effets spéciaux dans les salles sont bluffants.
Bref, on a l’impression d’y être.
L’immersion est encore plus poussée grâce aux sons. En plus des habituelles musiques et cris des supporters, on entend maintenant le coach donner des ordres depuis le banc de touche et les joueurs j’encourager.
Bien évidemment, les bruitages sont aussi de la partie. Tout est fait pour avoir l’impression d’être physiquement présent dans la salle.
Cela fait trois tests de NBA 2K que je publie sur ce blog, vous savez maintenant que je ne vous parlerai pas des musiques. La première raison est que je n’aime pas entendre de la musique quand je joue. Quel que soit le jeu. Mais le basket est associé à la culture RAP/HipHop/R’nB qui me vrille les tympans, la bande-son de NBA 2K17 ne fait pas exception.
Passons maintenant au nerf de la guerre : le gameplay.
Je n’ai joué qu’une démo où l’on ne contrôle qu’un pachyderme au milieu d’un magasin de porcelaine, je vous accorde donc qu’il est compliqué de se faire un véritable avis. Mais j’ai quand même pu découvrir les quelques nouveautés.
Pour ce qui est des déplacements et mouvements spéciaux, cela se fait toujours grâce aux deux sticks analogiques. Le gauche sert à se déplacer sur le parquet alors que le droit permet d’enchaîner les crossover, spin moves et autres joyeusetés.
Le stick droit permet aussi de tirer, dunker, faire un lay-up… Mais c’est le timing pour le shoot qui a été changé. Il faut un temps d’adaptation pour trouver le bon moment pour relâcher, mais dans ces matchs où la moindre erreur se paye cash, ça fait mal d’essuyer les plâtres…
Enfin bref, ce NBA 2K17 s’annonce grandiose, mais pour l’heure je n’ai fait que le « Prélude ». Dans le prochain « Daddy, à quoi tu joues ?« , j’aurais eu la version complète et je pourrai vous en parler plus en détail, notamment des autres modes de jeux disponibles.
En attendant, je ne le noterai pas et attendrai la semaine prochaine d’avoir pu le tester de fond en comble pour vous donner mon avis.
Et vous ? À quoi avez-vous joué cette semaine ?
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Mon avis provisoire sur NBA 2K17
En résumé
NBA 2K17 promet encore d’être dantesque, malgré quelques ajustements de gameplay déroutants.
J’ai hâte de recevoir mon jeu complet pour le tester de fond en comble…
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Mon avis provisoire sur NBA 2K17
En résumé
NBA 2K17 promet encore d’être dantesque, malgré quelques ajustements de gameplay déroutants.
J’ai hâte de recevoir mon jeu complet pour le tester de fond en comble…
J’ai fini Tokyo Mirage sur Wii U, il était vraiment sympa, je l’ai adoré. J’ai commencé pas mal aussi Deus Ex MD, sympa mais j’ai du mal à accrocher… Sinon je suis sur la fin d’Odin Sphere sur Vita <3
En manque de jrpg, je me suis remis à Skies of Arcadia sur gamecube sur Wii
J’ai aussi commencé Deus Ex MD et je le trouve trop mou, je m’ennuie. Je pense qu’il va rejoindre ma collection de jeux abandonnés dans un coin sans avoir été finis.