Daddy, à quoi tu joues ? #8 – The Division

daddy-à-quoi-tu-joueCe n’est vraiment pas facile de concilier vie de famille et jeu vidéo. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je ne fais quasiment plus que des jeux qui ne nécessitent pas de longues sessions de jeu et surtout que je peux mettre en pause à tout moment…
Oui, mais voilà, il y a The Division ! Rien qu’avec la bêta je sentais déjà le piège arriver, mais avec la version définitive entre les mains… C’est l’engrenage !

The Division

Ma principale crainte en découvrant The Division était que le solo se résume à peau de chagrin. En effet, le jeu est principalement axé multijoueur et devoir trouver des amis connectés en même temps que moi pour pouvoir avancer me faisait peur.

J’ai donc été soulagé en découvrant que non seulement je peux faire l’intégralité du jeu tout seul, mais qu’en plus ça va me prendre une bonne centaine d’heures… Voire même plus !

Le scénario est digne d’un film catastrophe : quelqu’un a répandu un virus mortel et terriblement contagieux sur des billets de banque et est allé les dépenser dans les magasins de New York en plein Black Friday. Pour ceux qui ne connaissent pas, le Black Friday est le lendemain de Thanksgiving aux États-Unis. C’est le jour où les américains font le plus d’achats dans l’année.
S’en sont suivi une terrible épidémie, un état d’urgence, la loi martiale a été instaurée et les gangs ont pris possession de la ville…
Bien évidemment, nous sommes le dernier espoir de la Big Apple que nous devrons délivrer du mal qui la ronge.

The Division est conçu comme un jeu de rôle. On récupère des armes et de l’équipement au fur et à mesure de nos missions, mais les objets ne peuvent être utilisés qu’une fois un certain niveau d’expérience atteint. Chacun d’entre eux apporte un bonus de vie ou d’armure, il est donc nécessaire de faire les bons choix pour bénéficier d’un bon équilibre.

La ville de New York est gigantesque, pleine de missions  de quête principale ou annexes et bien évidemment bourrée d’ennemis prêts à en découdre à coup de fusil à pompe, fusil mitrailleur ou au lance-flammes…

Outre le scénario, il y a la Dark Zone. Il s’agit de plusieurs quartiers de la ville dans lesquels l’épidémie a été la plus forte et qui restent inaccessibles sans un masque filtrant. C’est là que l’on retrouve les meilleurs éléments d’équipement, mais aussi la pire des racailles… Même s’il est possible de s’y aventurer en cavalier seul, il est préférable de ne pas se la jouer solo. Non seulement le niveau de difficulté y est accru, mais on y croise les autres joueurs… Certains sont passés du côté obscur et sont devenus des agents renégats qui n’hésiteront pas à nous tuer pour quelques pièces d’équipement.

J’ai tout de même relevé quelques défauts, notamment l’impossibilité de faire sauter un cadenas en tirant dessus… Il faut parfois faire tout le tour d’un quartier pour se retrouver de l’autre côté d’une barrière fermée avec seulement une petite chaîne. Les autres joueurs aussi ne sont pas toujours très fair-play. Certains s’amusent à bloquer les autres dans une pièce, les empêchant de poursuivre leur aventure alors que d’autres n’hésiteront pas à vous laisser mourir fasse aux ennemis pour tranquillement récupérer votre équipement sur votre cadavre encore chaud…

Mon dernier grief envers The Division est qu’il faut absolument un abonnement au PlayStation Plus ou au Xbox Live Gold pour pouvoir y jouer. Si vous n’avez pas encore ce type d’abonnement, prévoyez une enveloppe de 60 € supplémentaires pour y souscrire….

Enfin bref, je pourrais vous parler de The Division durant des heures, mais le mieux est de l’avoir en main ! Après plus de 20 heures de jeu, je n’en suis même pas à la moitié des quartiers de New York visités… Et puis Ubisoft a déjà prévu d’ajouter régulièrement du contenu, ce qui rajoutera encore de la durée de vie.

Vu la taille du jeu, il est probable que je vous en parle pendant quelques semaines. Sa note pourrait évoluer au fil du temps. Mais rappelez-vous que ce jeu est addictif, une fois que vous aurez croqué dans la grosse pomme, vous y serez accro !

  • Tom Clancy's: The Division

The-Division

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Dimanche dernier, je vous disais que je reparlerai de Far Cry Primal une fois l’aventure terminée. Je n’en ferai rien, car je l’ai rapidement fini après la publication du « Daddy, à quoi tu joues ? #7 » et mon avis est resté le même. je vous invite donc à aller le consulter.

Cette semaine, je vais bien évidemment poursuivre The Division, mais j’ai aussi le test de Heavy Rain & Beyond Collection à réaliser. Je vous donne donc rendez-vous pour découvrir mon avis sur ces deux sublimes jeux remastérisés sur PlayStation 4.

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  • Tom Clancy's: The Division

Daddy Gamer Chief

Papa de trois petites demoiselles - 12, 6 et 2 ans - ainsi que d'un petit garçon de 4 ans, j'arrive tout de même à concilier mon travail, mon rôle de père et ma passion pour le jeu vidéo. De ce fait, j'ai créé ce blog afin de partager avec vous tous mes passions, mais aussi mes expériences vidéo-ludiques avec mes enfants. Ce blog n'a pas vocation à remplacer les grands sites mais bien de faire partager avec le plus grand nombre ce qu'est la vie de papa gamer avec quatre enfants.

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2 réponses

  1. Vanou dit :

    Pareil un beau petit week-end sur Division! Dommage qu’on puisse pas encore joué ensemble ^^
    Et aussi un peu de Zelda TP HD pendant que Mme regardait la TV.

  2. le gars indécis dit :

    Pour moi, je suis à cheval, sur ps4, entre Primal et Lego Marvel avengers, et sur Ps3, je reprends les jeux non fait, ou trophées à finir pour platiner, ou jeux à finir pour revendre. En ce moment je suis sur Kane & Lynch dogs day.

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