Daddy, à quoi tu joues ? #2 – Just Cause 3 et The Division

Une nouvelle semaine vient de s’écouler, elle est passée en un claquement de doigts c’est incroyable ! Les journées passent en un coup de vent lorsqu’on a des enfants et les « pauses » jeu vidéo se font rares.
Malgré tout, j’ai quand même réussi à prendre la manette et à me poser devant la télé pour jouer un peu. Bien entendu, j’ai persévéré dans Just Cause 3, mais j’ai surtout eu l’occasion enfin d’essayer The Division !

Daddy joue à Just Cause 3 :

Je vous en parlais déjà la semaine dernière, je venais tout juste d’attaquer Just Cause 3 et il m’emballait assez peu.
Après une semaine de jeu, je peux d’ores et déjà vous dire qu’il va gagner une étoile supplémentaire par rapport à la note que je lui donnais dimanche dernier. En effet, la durée de vie ainsi que la diversité qu’il offre dans ses missions et autres défis font que je n’en suis toujours pas venu à bout.
Comme dans beaucoup de jeux, j’ai commencé par vouloir libérer les différentes régions avant de m’attaquer au scénario. En règle générale, cela me permet de débloquer de nombreuses armes et capacités qui rendent l’histoire un peu plus aisée à faire.
Mais je me suis rendu compte que pour vraiment s’éclater dans Just Cause 3, il faut alterner les missions du scénario avec les phases de libération de régions. Là où les autres jeux laissent les joueurs faire toutes les missions annexes sans encombre (Assassin’s Creed Syndicate par exemple), Just Cause 3 rend la prise de certaines bases « boss » bien plus coriaces si on n’a pas progressé dans l’histoire…  Bien entendu, cela n’est pas insurmontable, mais cette manière de nous inciter à poursuivre le scénario m’a bien plu.

Je touche au but, dimanche prochain Just Cause 3 sera déjà de l’histoire ancienne. Il ne me laissera pas un souvenir impérissable, mais il aura eu le mérite de me divertir. Et je n’en demande pas plus à un jeu !

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Daddy joue à Tom Clancy’s The Division :

Clairement, je ne m’attendais pas à ça !
Lorsqu’Ubisoft a présenté la première vidéo de gameplay de The Division j’en étais resté bouche bée tant le jeu était beau. Mais il ne s’agissait là que de cinématiques ou de versions bien trop jeunes du jeu et malheureusement, il y a très logiquement eu un downgrade graphique. Pour ceux qui me lisent et qui ne sont pas habitués à ces mots, un downgrade graphique est une énorme baisse de la qualité visuelle qui est indispensable au fur et à mesure que les développeurs ajoutent des choses au jeu. Sans ce « downgrade« , certains jeux tiendraient sur plusieurs Blu-ray et nos disques durs seraient bien trop petits…
Lorsque j’ai entendu ceux qui avaient eu la chance de prendre en main The Division à l’E3 2015 où lors de la Paris Games Week 2015 crier au scandale, cela m’a inquiété quand au rendu final du jeu. Mais jeudi dernier, Ubisoft a lancé la dernière phase de bêta de The Division. Comme j’ai commandé une belle statuette d’Ezio Auditore (Assassin’s Creed II) sur leur site, j’ai eu droit à un code pour y participer.

On se retrouve dans un New York sublimement modélisé où un virus a dévasté la population. S’en sont suivi des scènes d’émeute et ce sont désormais des gangs qui tiennent la ville.
Notre but sera de jouer seul ou en coopération en ligne afin d’exterminer la vermine et de ramener un semblant de calme à la Big Apple. Pour cela, nous bénéficions d’un gameplay de type TPS (third person shooter, comme Uncharted, Tomb Raider ou Gears of War). La carte semble immense ! Dans la bêta nous n’avons accès qu’à deux quartiers de la ville, mais la carte totale promet des heures et des heures de jeu…

The Division est un jeu d’action certes, mais il bénéficie d’une grande part de RPG (jeu de rôle) grâce à sa grande diversité d’objet, armes et compétences à débloquer. Nous disposons aussi d’un outil de création de personnages très complet, mais très limité dans la bêta.

Je pourrais vous parler de The Division encore et encore, mais ma note parlera d’elle même. J’attendais cette bêta avec impatience pour savoir si la précommande du jeu était une bonne idée, et maintenant je peux le dire : Oui ! Oui ! Oui ! Ça, j’achète !

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