Call of Duty: Advanced Warfare – Mes premières impressions sur le FPS de cette fin d’année
Vous avez entendu parler de Call of Duty: Advanced Warfare, mais vous voulez en savoir plus à son sujet ? Daddy Gamer Chief était invité à Molitor il y a de cela quelques jours par GamerGen.com etActivision afin de tester le multijoueur du FPS (First Person Shooter) de Sledgehammer Games. Quelles sont mes premières impressions ? Lisez la suite pour le savoir !
C’est Glen Schofield, co-fondateur du studio qui nous a accueilli pour une longue présentation de la campagne solo et des améliorations ajoutées par rapport aux précédents épisodes. C’est avec deux phases de jeu en plein Lagos, ancienne capitale du Nigéria, et lors de la mission « Collapse » à San Francisco que la présentation a débuté. Nous y avons découvert rapidement les nouveautés de Call of Duty: Advanced Warfare telles que l’exosquelette et les différentes grenades futuristes. L’exosquelette offre une puissance surhumaine aux soldats qui la portent, ils peuvent ainsi faire des sauts considérables, faire des accélérations (dash) dans n’importe quelle direction, que ce soit dans les airs ou au sol, et peuvent même grimper aux murs tel Spider-Man. Les grenades se sélectionnent directement dans la main de notre joueur, juste avant de les lancer. Outre les habituelles grenades flash et fumigènes, il y a aussi un type de grenade qui reste en l’air au dessus des ennemis afin que leur explosion ait un 
champ d’action plus grand et une autre qui permet de voir la silhouette de nos adversaires en rouge, même s’ils sont cachés derrière un véhicule ou un mur. Bien entendu, cette grenade n’a qu’un champ d’action et une durée limités et ne permet pas de voir tous les soldats présents sur le champ de bataille. Vous verrez certaines de ces capacités dans une vidéo du niveau « Collapse » publiée à la fin de cette preview.
Schofield a ensuite diffusé différentes vidéos présentant les nouveaux systèmes de personnalisation permettant de créer plus de 2 milliards de combattants uniques pour le mode multijoueur qui comporte près de 350 armes personnalisables et plus de 1000 récompenses intégrées. Ce n’est donc plus 10, mais 13 objets que notre mercenaire virtuel pourra porter. Cela comporte son arme principale, la secondaire, leurs accessoires, les grenades et les perks. L’outil Create-an-Operator permet de créer un soldat de la tête aux pieds en choisissant sa couleur de peau, son casque, ses lunettes, son armure, son exosquelette ou même ses protège-genoux. Tout cela sera débloqué avec des Supply Drops, des 
cantines obtenues en fin de partie. La qualité de leur contenu est aléatoire et dépendra pour beaucoup de notre score au combat. Pour en finir avec la customisation, Un Virtual Lobby permettra, durant les chargements entre chaque affrontement, de changer l’équipement de notre soldat pour la prochaine partie. Le système de scorestreaks a aussi été revu, puisque ceux-ci seront totalement personnalisables et être effectués en coopération.
Venons-en au nerf de la guerre : le multijoueur. Il contiendra 13 cartes, dont une qui sera réservée aux possesseurs du Season Pass ou de certaines éditions du jeu, parmi elles se trouvent Biolab, Riot, Ascend et Defender qui pourra être recouverte d’eau par un tsunami en pleine partie. Un mode en coopération, Exo Survival, viendra remplacer les zombies de Call of Duty: Black Ops II et les extra-terrestres de Call of Duty: Ghosts, il demandera aux joueurs de jouer en équipe afin de venir à bout de vagues d’ennemis de plus en plus puissantes.
Enfin, j’ai eu l’occasion de tester les habituels modes de jeu tels que Match à Mort par Équipe ou Élimination Confirmée, mais surtout un tout nouveau mode dans la série : Uplink. Il s’agit d’un jeu de balle dans lequel deux équipes s’affrontent pour marquer dans le but adverse. Ce but est représenté par une sphère d’énergie de couleur rouge ou bleue. Afin d’emmener la balle dans le camp adverse, il est possible de se la passer de joueur en joueur et bien sûr d’éliminer toute résistance ennemie. Le porteur du ballon ne peut utiliser d’arme, il doit donc être escorté de près par ses équipiers. Pour marquer il peut soit lancer la balle dans le but adverse ou bien carrément sauter dedans.
Pour ce qui est de la maniabilité, je n’ai pas été étonné de 
retrouver la jouabilité de la licence. Call of Duty: Advanced Warfare a été construit sur des bases solides et quelques éléments de gameplay ont été ajoutés. Ainsi, les supers sauts permis par l’exosquelette offrent la possibilité d’atteindre des lieux hauts perchés sans peine et le dash donne la possibilité de surprendre l’ennemi en arrivant derrière lui alors qu’il croyait nous poursuivre et ainsi avoir un frag facile.
Pour finir, un petit mot sur la beauté du jeu. C’est la version Xbox One, plateforme de développement du titre, qui a servi pour cette preview et il est indéniable que Call of Duty: Advanced Warfare renvoie Call of Duty: Ghosts à la préhistoire de la série. Le jeu est beau, les couleurs bien marquées et aucun scintillement ou aliasing ne vient piquer les yeux.
J’ai donc hâte d’avoir la version définitive de Call of Duty: Advanced Warfare en mains pour mettre à mal cette campagne solo, qui devrait être plus longue que celle des autres épisodes, et le multijoueur qui offre une nouvelle façon de jouer. Rendez-vous donc le 4 novembre, date de sortie du FPS, pour son test complet.
