Rocket League : mon test complet de la version Xbox One

Rocket-League-logoParfois avec cette vie trépidante que j’ai, j’oublie des choses très simples comme télécharger un jeu gratuit sur le PlayStation Plus… C’est ce qu’il m’est arrivé l’été dernier lorsque Rocket League a été proposé gratuitement sur le PS+, et je m’en suis mordu les doigts.
Heureusement, l’agence de communication qui est chargée de sa promotion m’a offert un code afin que je puisse le tester et l’intégrer dans mon top 10 pour Noël 2015. Et grand bien m’en a pris tant je suis devenu accro à ce jeu.
Alors, quand j’ai appris qu’il sortait sur Xbox One, je n’ai pas résisté à l’envie d’en publier un test qui me permettrait en plus de comparer avec la version PS4…

Rocket League est un jeu qui mêle le football aux voitures dans des affrontements bien bourrins.  Pour les plus anciens de mes lecteurs, ou les rétrogamers, on pourrait comparer Rocket League à Speedball. Sauf qu’à la place d’une armure on a une voiture (et ça rime en plus !).
Le principe est simple : une arène, des voitures, un très gros ballon et deux buts. Vous aurez compris ce qu’il faut faire du gros ballon…

Rocket-League-1

Je vais commencer directement par les défauts, comme ça, se sera fait et on n’en parlera plus (ou presque…).
Avec Rocket League, on voit bien les limites de la Xbox One. C’est d’ailleurs probablement une des raisons pour lesquelles le jeu n’est pas sorti en même temps que sur PC et PS4… Graphiquement c’est moins beau, ça scintille, c’est aliasé et il y a parfois quelques petites chutes de framerate (des petits freezes)…
Autre détail surprenant, alors que sa stratégie cross plateform Xbox One/Windows 10 ne fait plus aucun doute, Microsoft a refusé que les joueurs console puissent affronter les joueurs PC… Pourtant cela n’a posé aucun problème sur PlayStation 4 !

Maintenant que j’ai parlé des choses qui fâchent, passons au programme des réjouissances !

Vu que Rocket League arrive bien tardivement sur Xbox One, il embarque déjà toutes les mises à jour déjà sorties sur les autres plateformes. Et puis, pour se faire pardonner de faire sortir leur jeu plus en retard sur Xbox One, les développeurs ont ajouté deux nouveaux bolides exclusifs en plus des 16 de base : l’Armadillo de Gears of War et le Warthog de Halo. Bien entendu, il faudra jouer un minimum pour réussir à les débloquer…

Rocket-League-3

En ce qui concerne les graphismes, Rocket League cherche à en mettre plein les mirettes. Les arènes sont colorées et leurs thèmes variés. Les bolides sont customisables à volonté avec toutes sortes de décalcomanies et autres accessoires loufoques. On peut notamment les équiper de traînées lumineuses différentes qui viendront enflammer l’arrière de notre voiture lors de l’utilisation du turbo.

Pour ce qui est de la bande-son, c’est la musique techno qui rythme la navigation dans les menus alors que les bruitages prédominent lors des matchs, ce qui n’est pas pour me déplaire.

Côté gameplay, la copie est presque parfaite. Il faut tout de même un temps d’adaptation pour se familiariser avec la maniabilité des véhicules et surtout pour apprendre tout ce que l’on peut faire avec.
Car en plus d’avoir un turbo méga-puissant qui peut nous propulser tel un boulet de canon pour exploser un adversaire, notre voiture peut sauter et effectuer toutes sortes d’acrobaties. Tous les moyens sont bons pour envoyer le ballon dans le but adverse !

Rocket-League-2

Les modes de jeux sont ce qu’il y a de plus classique : entraînement, match d’exhibition,  saison et surtout jeu en ligne. Car oui, tout l’intérêt de Rocket League est de jouer en ligne avec des amis dans des parties privées ou contre les joueurs du monde entier. Les matchs peuvent se jouer en 1 vs. 1, 2 vs. 2, 3 vs. 3 ou 4 vs. 4, ce qui laisse pas mal de possibilités de tactiques à apprendre et utiliser pour gagner.
Parlons justement du multijoueur. La connexion est rapide, on trouve une partie en moins d’une minute et le jeu est très fluide. Enfin, j’ai la fibre, ça aide pour avoir une expérience de jeu parfaite, mais tant que vous ne jouez pas avec une vieille connexion 56k ça devrait le faire…

Faites bien attention ! Rocket League ne coûte que 19,99 €, mais c’est la moins chère des drogues dures. Vous êtes prévenus, si vous y touchez, vous allez devenir accros et ne pourrez plus vous en passer. En ce qui me concerne, je ne termine pas une session de jeu sans faire au moins un match en ligne sur Rocket League. Ce jeu est à posséder absolument, même si on n’aime ni le foot, ni les voitures, car c’est un bon prétexte pour de bons fous rires entre potes !

4.5
  • Jouabilité
  • Graphismes
  • Bande son
  • Jeu en ligne
  • Fun
  • Pas de jeu cross platefom

Rocket League

Rocket League est une vraie drogue dure ! Une fois que vous aurez mis le doigt dans l’engrenage, vous serez complètement accros… Et puis il ne coûte que 19,99 €, pourquoi se priver ?

Rocket-League-Xbox-One

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4.5
  • Jouabilité
  • Graphismes
  • Bande son
  • Jeu en ligne
  • Fun
  • Pas de jeu cross platefom

Rocket League

Rocket League est une vraie drogue dure ! Une fois que vous aurez mis le doigt dans l’engrenage, vous serez complètement accros… Et puis il ne coûte que 19,99 €, pourquoi se priver ?

Daddy Gamer Chief

Papa de trois petites demoiselles - 12, 6 et 2 ans - ainsi que d'un petit garçon de 4 ans, j'arrive tout de même à concilier mon travail, mon rôle de père et ma passion pour le jeu vidéo. De ce fait, j'ai créé ce blog afin de partager avec vous tous mes passions, mais aussi mes expériences vidéo-ludiques avec mes enfants. Ce blog n'a pas vocation à remplacer les grands sites mais bien de faire partager avec le plus grand nombre ce qu'est la vie de papa gamer avec quatre enfants.

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